Au Mali, un nouveau-né sur 28 ne survit pas son premier mois de vie. C’est un des taux les plus élevés du monde.
Bon nombre de ces enfants décèdent de causes évitables. L’accès à des soins de qualité, notamment les consultations prénatales, les accouchements assistés, et la vaccination peuvent sauver la vie des plus jeunes enfants.
Mais ce n’est pas qu’une question de santé. Des gestes simples, telles que l’allaitement exclusif jusqu’à 6 mois, une bonne hygiène, la stimulation cognitive et l’éducation préscolaire permettent d’offrir le meilleur départ possible aux enfants. A Ségou, au centre du Mali, une nouvelle dynamique menée par la communauté est en cours et constitue un réel espoir pour la survie et le développement de chaque enfant.